L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
- jean payet
- Messages : 2
Date d'inscription : 10/12/2019
Partie IRL :
Anthony, 23 ans passionner d'informatique spécialiste en micro soudure dev dans les heurs perdue, ex et future militaire, je suis donc naturellement un joueur de arma 3 je fait également des stream de temps a autre pour partager avec vous mon expérience de jeu.
Partie IG :
Background du personnage :
Né en 1982, Jean, fils de militaire, a vécu la majorité de son enfance en Isère, dans les Alpes. La maison familiale était calé au bout d’un petit chemin serpentant dans les bois, à près d’un kilomètre de la ville la plus proche : Bourg-d’Oisans. Son enfance, assez calme, fut bercée par la montagne, et un amour profond et marqué pour les Alpes.
En 1996, à l’age de 17 ans, il s’engage dans l’armée de terre, et après un apprentissage bref et couronné de réussite, il rejoint le 27ème bataillon des chasseurs alpins à l’age de 19 ans, en tant que sous-officier au grade de sergent. Le soir même, il aborde fièrement sa tenue, et le fameux béret de chasseur alpin.
Durant ses premières années chez les chasseurs alpins, il arpente encore plus les Alpes, crapahutant dans la neige, ski aux pieds, Famas à la main. Les entraînements sont durs, rudes, et long, mais bon sang qu’il aime ça ! D’autant plus lorsque c’est à la montagne.
Il passe ses soirées au mess, et fait tout son possible pour rester proche de ses hommes. Il aime la solitude, mais il sait que le contact humain est indispensable pour être un bon leader. Et Jean à de l’ambition. Il veut grimper les échelons.
Lors d’une soirée avec son peloton, un chasseur de 1ère classe à commencer a demander pourquoi chacun avait choisi les chasseurs alpins. Quelque uns répondirent par l’amour de montagne, d’autre que c’était par choix de l’élite. Un répondit même que c’était pour faire plaisir à son père. Jean nota le nom de cet homme dans un coin de sa tête. Il allait falloir le garder à l’œil.
Lorsqu’on lui posa la question, Jean resta muet. Non pas qu’il ne savait pas quoi répondre, mais plutôt qu’il ne savait pas comment l’expliquer. Un souvenir fugace mais puissant lui traversa l’esprit, la vue qu’il avait depuis la fenêtre de sa chambre lorsqu’il était enfant.
Cette vision le fit sourire. Voila ce qu’il aimait tant. Cet espèce de plénitude, de contact avec la nature, loin du fouillis des grandes villes. Jean n’avait jamais compris tous ces tarés qui partaient vivre dans 30m² à Paris pour un loyer avec lequel ils pourraient avoir une maison splendide en province.
Mais ce qui Jeanpréférait par-dessus tout, c’était la brouillard. Ce manteau glacial qui couvrait la terre et le ciel, donnant un aspect irréel à tout ce qu’il entourait. Cette sensation étrange de vide absolu. Le silence, assourdissant, accompagnant souvent ce phénomène météorologique. Voila ce qu’il aimait.. Mais bien sur, cela, il devait le garder pour lui.
Après un trop long silence, Jean se retourna, et lança un « Ouais, la montagne je dirais ».
Les hommes du peloton semblèrent se satisfaire de sa réponse, et après quelques temps, Jean parti se coucher, repensant à la magnifique image qui lui avait traversé l’esprit. Son « chez-lui » ne lui manquait pas tellement, vu qu’il considérait être partout chez lui tant qu’il était dans les Alpes. Mais sa mère lui manquait par contre. Il décida de l’appeler le lendemain, et s’endormit sans plus de cérémonie.
Jean fut nommé Major en 2001, suite à une session d’entrainement particulièrement difficile, durant laquelle la son escouade, soit 4 hommes lui compris, faillirent perdre la vie.
Lors d’un treak nocturne dans la neige, du Parc National de la Vanoise jusqu’au Parc Naturel Régional du Queyras, son groupe est tombé à la frontière italienne sur un groupe de mafieux italiens d’une dizaine d’hommes, dans de gros 4x4 noires.
Dès que les mafieux aperçurent le groupe de Jean , ils ouvrirent le feu sans sommation sur les 4 hommes, et le groupe de Jean s’est alors réfugié dans une cahute de berger, et on tenu la position, repoussant les mafieux durant 2 heures.
Tous furent blessés, dont un chasseur gravement. Jean , décida alors contre toute mesure de précaution élémentaire de tenter l’impossible. Il sorti par la fenêtre arrière de la cahute, et fit signe à ses hommes de faire silence absolu. Ses hommes attendirent. 10 minutes. 15 minutes. Pas un bruit au dehors.
Après une vingtaine de minutes, ils entendirent un vrombissement de moteur, et aperçurent un des 4x4 se garer devant la cahute. Ré-ajustant leurs armes, ils virent Jean sortir du véhicule, recouvert de sang, le regard vide et éteint. Jean leur fit signe de rappliquer, et il monta à l’arrière, titubant et tremblant.
Ses hommes chargèrent leur collègue gravement blessé et un des deux encore valide pris le volant, mettant le cap sur l’hôpital de Briançon. Sur le chemin de terre les ramenant à la route départementale, ils virent des cadavres sur le côté. Le deuxième 4x4 était sur le bas-côté, trois hommes morts à l’intérieur.
Le deuxième soldat fouilla la boite à gant, et trouva un téléphone jetable. Il composa en toute hâte le numéro de la caserne, et demande à parler au capitaine de brigade. Jean tendit l’oreille, et s’assoupit sous le ron-ron du moteur.
En 2005, Jean se porte volontaire pour l’opération FINUL, et part pour le Liban, et aborde pour la première fois les couleurs de l’ONU. Ses missions de protection de l'état-major et d’assistance médicale gratuite à la population, Jean a pour la première fois l’impression de servir à quelque chose de précis et de concret. Et il aime ça. Jean reste 3 ans au Liban, et reviens en France en 2008, avec le grade de Capitaine en poche.
En 2009, Jean part en Afghanistan, et participe notamment en mars 2009 à l’opération Dinner Out, aussi appellée « Bataille d’Alasaï ». Jean vécu durant cet période l’horreur et la peur. Jean assiste au déferlement de feu de la part de l’armée française. La fameuse et célèbre Fire-Ball. Il assiste aussi, impuissant, à la mort du caporal Nicolas Belda, tué par un tir de RPG-7 frappant son VAB à travers le capot.
Jean se distingue encore une fois par un leadership hors du commun, sous les ordres du colonel Le Nen, et mène ses hommes à la baguette, repoussant leurs limites.
Jean restera en Afghanistan jusqu’en 2011 et participe à divers opérations. A son retour en France, il sera nommé Commandant de bataillon, et entre dans la catégorie des officiers supérieurs.
Mais avec tout cela Jean n'arrive plus a suivre beaucoup de responsabilité et d'hommes sous ses ordres c'est pour cela qu'il décide d’écrire a sont supérieur pour arrêter sont service depuis toutes ses années et commencer une nouvelle vie ailleurs car il avais besoin de se reposer et surtout voir moins d'hommes mourir sous ses yeux.
Depuis sont arrivé il a pu faire connaissances avec les locaux mais aussi se lieu d'amitié avec certains et sont aventure ne fais que de commencer.
Anthony, 23 ans passionner d'informatique spécialiste en micro soudure dev dans les heurs perdue, ex et future militaire, je suis donc naturellement un joueur de arma 3 je fait également des stream de temps a autre pour partager avec vous mon expérience de jeu.
Partie IG :
Background du personnage :
Né en 1982, Jean, fils de militaire, a vécu la majorité de son enfance en Isère, dans les Alpes. La maison familiale était calé au bout d’un petit chemin serpentant dans les bois, à près d’un kilomètre de la ville la plus proche : Bourg-d’Oisans. Son enfance, assez calme, fut bercée par la montagne, et un amour profond et marqué pour les Alpes.
En 1996, à l’age de 17 ans, il s’engage dans l’armée de terre, et après un apprentissage bref et couronné de réussite, il rejoint le 27ème bataillon des chasseurs alpins à l’age de 19 ans, en tant que sous-officier au grade de sergent. Le soir même, il aborde fièrement sa tenue, et le fameux béret de chasseur alpin.
Durant ses premières années chez les chasseurs alpins, il arpente encore plus les Alpes, crapahutant dans la neige, ski aux pieds, Famas à la main. Les entraînements sont durs, rudes, et long, mais bon sang qu’il aime ça ! D’autant plus lorsque c’est à la montagne.
Il passe ses soirées au mess, et fait tout son possible pour rester proche de ses hommes. Il aime la solitude, mais il sait que le contact humain est indispensable pour être un bon leader. Et Jean à de l’ambition. Il veut grimper les échelons.
Lors d’une soirée avec son peloton, un chasseur de 1ère classe à commencer a demander pourquoi chacun avait choisi les chasseurs alpins. Quelque uns répondirent par l’amour de montagne, d’autre que c’était par choix de l’élite. Un répondit même que c’était pour faire plaisir à son père. Jean nota le nom de cet homme dans un coin de sa tête. Il allait falloir le garder à l’œil.
Lorsqu’on lui posa la question, Jean resta muet. Non pas qu’il ne savait pas quoi répondre, mais plutôt qu’il ne savait pas comment l’expliquer. Un souvenir fugace mais puissant lui traversa l’esprit, la vue qu’il avait depuis la fenêtre de sa chambre lorsqu’il était enfant.
Cette vision le fit sourire. Voila ce qu’il aimait tant. Cet espèce de plénitude, de contact avec la nature, loin du fouillis des grandes villes. Jean n’avait jamais compris tous ces tarés qui partaient vivre dans 30m² à Paris pour un loyer avec lequel ils pourraient avoir une maison splendide en province.
Mais ce qui Jeanpréférait par-dessus tout, c’était la brouillard. Ce manteau glacial qui couvrait la terre et le ciel, donnant un aspect irréel à tout ce qu’il entourait. Cette sensation étrange de vide absolu. Le silence, assourdissant, accompagnant souvent ce phénomène météorologique. Voila ce qu’il aimait.. Mais bien sur, cela, il devait le garder pour lui.
Après un trop long silence, Jean se retourna, et lança un « Ouais, la montagne je dirais ».
Les hommes du peloton semblèrent se satisfaire de sa réponse, et après quelques temps, Jean parti se coucher, repensant à la magnifique image qui lui avait traversé l’esprit. Son « chez-lui » ne lui manquait pas tellement, vu qu’il considérait être partout chez lui tant qu’il était dans les Alpes. Mais sa mère lui manquait par contre. Il décida de l’appeler le lendemain, et s’endormit sans plus de cérémonie.
Jean fut nommé Major en 2001, suite à une session d’entrainement particulièrement difficile, durant laquelle la son escouade, soit 4 hommes lui compris, faillirent perdre la vie.
Lors d’un treak nocturne dans la neige, du Parc National de la Vanoise jusqu’au Parc Naturel Régional du Queyras, son groupe est tombé à la frontière italienne sur un groupe de mafieux italiens d’une dizaine d’hommes, dans de gros 4x4 noires.
Dès que les mafieux aperçurent le groupe de Jean , ils ouvrirent le feu sans sommation sur les 4 hommes, et le groupe de Jean s’est alors réfugié dans une cahute de berger, et on tenu la position, repoussant les mafieux durant 2 heures.
Tous furent blessés, dont un chasseur gravement. Jean , décida alors contre toute mesure de précaution élémentaire de tenter l’impossible. Il sorti par la fenêtre arrière de la cahute, et fit signe à ses hommes de faire silence absolu. Ses hommes attendirent. 10 minutes. 15 minutes. Pas un bruit au dehors.
Après une vingtaine de minutes, ils entendirent un vrombissement de moteur, et aperçurent un des 4x4 se garer devant la cahute. Ré-ajustant leurs armes, ils virent Jean sortir du véhicule, recouvert de sang, le regard vide et éteint. Jean leur fit signe de rappliquer, et il monta à l’arrière, titubant et tremblant.
Ses hommes chargèrent leur collègue gravement blessé et un des deux encore valide pris le volant, mettant le cap sur l’hôpital de Briançon. Sur le chemin de terre les ramenant à la route départementale, ils virent des cadavres sur le côté. Le deuxième 4x4 était sur le bas-côté, trois hommes morts à l’intérieur.
Le deuxième soldat fouilla la boite à gant, et trouva un téléphone jetable. Il composa en toute hâte le numéro de la caserne, et demande à parler au capitaine de brigade. Jean tendit l’oreille, et s’assoupit sous le ron-ron du moteur.
En 2005, Jean se porte volontaire pour l’opération FINUL, et part pour le Liban, et aborde pour la première fois les couleurs de l’ONU. Ses missions de protection de l'état-major et d’assistance médicale gratuite à la population, Jean a pour la première fois l’impression de servir à quelque chose de précis et de concret. Et il aime ça. Jean reste 3 ans au Liban, et reviens en France en 2008, avec le grade de Capitaine en poche.
En 2009, Jean part en Afghanistan, et participe notamment en mars 2009 à l’opération Dinner Out, aussi appellée « Bataille d’Alasaï ». Jean vécu durant cet période l’horreur et la peur. Jean assiste au déferlement de feu de la part de l’armée française. La fameuse et célèbre Fire-Ball. Il assiste aussi, impuissant, à la mort du caporal Nicolas Belda, tué par un tir de RPG-7 frappant son VAB à travers le capot.
Jean se distingue encore une fois par un leadership hors du commun, sous les ordres du colonel Le Nen, et mène ses hommes à la baguette, repoussant leurs limites.
Jean restera en Afghanistan jusqu’en 2011 et participe à divers opérations. A son retour en France, il sera nommé Commandant de bataillon, et entre dans la catégorie des officiers supérieurs.
Mais avec tout cela Jean n'arrive plus a suivre beaucoup de responsabilité et d'hommes sous ses ordres c'est pour cela qu'il décide d’écrire a sont supérieur pour arrêter sont service depuis toutes ses années et commencer une nouvelle vie ailleurs car il avais besoin de se reposer et surtout voir moins d'hommes mourir sous ses yeux.
Depuis sont arrivé il a pu faire connaissances avec les locaux mais aussi se lieu d'amitié avec certains et sont aventure ne fais que de commencer.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|